Structure coordinatrice
INSTITUT DE L’IMAGE
INSTITUT DE L’IMAGE
CLEMENT DORIVAL
Réalisateur
_ Membre de l’association Anamorphose
Clément Dorival est un auteur-réalisateur engagé dans un cinéma qui interroge le réel. Il partage son temps entre la réalisation ({Les yeux fermés}, réalisé avec Christophe Pons), l’écriture ({Images en mémoire, images en miroir}, livret-DVD édité par le CNC ; {[9m2 pour deux->ressource619]}, Chronique d’une expérience cinématographique en prison), la direction de workshops de cinéma ({Images en mémoire, images en miroir}, production Lieux Fictifs – INA – Marseille Provence 2013 Capitale Européenne de la Culture) et l’enseignement (chargé de cours à l’Université de Provence).
_ A travers ces différents modes de création et de transmission, il cherche à raconter les marges du monde et les rencontres avec l’autre sous un angle esthétique, politique et poétique.
EMMANUEL ROY
Réalisateur
_ Membre de l’association Anamorphose
Emmanuel Roy est réalisateur. Il se partage entre films, ateliers et montages.
Il a principalement réalisé La part du feu (long-métrage documentaire sorti au cinéma en novembre 2013), Histoires d’oeufs (2006) et Une journée pour rebondir (co-réal : Christophe Cordier, 2003).
_ Il pratique les ateliers depuis 2000 en particulier avec les Ateliers Varan (à Paris, l’Île Maurice, Marseille, Kaboul) et Lieux Fictifs à la prison des Baumettes à Marseille. Il est également monteur de films documentaires, institutionnels ou expérimentaux.
_ Études de lettres et d’histoire, DESS de réalisation documentaire de l’université de Poitiers (1999).
À partir d’images trouvées sur internet et de courts-métrages réalisés avec leurs téléphones portables, les participants ont été invité à mettre en question la problématique du portrait, et plus spécifiquement, de l’autoportrait.
Ce projet a été soutenu par Passeurs d’Images, mené avec la collaboration de l’ADREP et d’Argitxu Gayon, formatrice ETAPS.
Cet atelier a proposé à une dizaine de jeunes d’interroger le rapport au réel suscité par les nouveaux outils de notre époque, en particulier, les téléphones portables et les réseaux sociaux.
L’idée était de permettre aux participants de croiser cinéma et outils numériques pour porter regard critique sur notre monde et sur eux-mêmes.
Cet atelier a été accompagné d’une séance de L’Homme qui tua Liberty Valance de John Ford (1962) proposé par l’Institut de l’Image au mois d’Octobre dans le cadre de son cycle John Ford.