Structure coordinatrice
ASSOCIATION IL ÉTAIT UN TRUC …
2013 – ATELIER CINEMA D’ANIMATION – LES OTARIES EN PAT’ A MOD’
Intervenant•e
AMELIE MASCIOTTA
Coordination et animation des ateliers, développement de projets, recherche des publics.
Le parcours d’Amélie Masciotta s’articule autour de l’éducation à l’image via un travail plastique et numérique. Elle est l’initiatrice de l’association niçoise {Il était un Truc…} : l’objectif est de « porter le cinéma au regard de tous en allant du faire au voir, de la création à la diffusion, de la production à la distribution ». {Il était un Truc…} organise des ateliers artistiques et développe des dispositifs pédagogiques autour du cinéma. Le dispositif phare de l’association est un studio de cinéma mobile et modulable, [Les Films en Tubes->ressource971].
NATALIJA JUKIC
Animation des ateliers, développement de projets, recherche des publics
CLAUDE VALENTI
Photographe, graphisme, communication et animation des ateliers
MURIEL IRIS
Animation des ateliers, réalisatrice, régie
LYONEL KOURO
Auteur, concepteur et réalisateur.
Lyonel Kouro, parallèlement à une recherche sur la matière, principalement la Pâte à modeler en technique d’animation filmée et sculptures, oriente son travail depuis quelque années vers une direction plus virtuelle grasse à l’utilisation de logiciels d’image de synthèse.
Descriptif
Dans le cadre d’un atelier de cinéma en Pât’ à Mod’, animé image par image, l’association « Il était un Truc… » et le Professeur Kouro présentent un clip des Otaries d’Arne Vinzon, réalisé sur deux journées bien remplies.
- Durée de l’atelier : 21 et 22 février 2013
- Nombre d’heures : 20 heures
- Lieu : La Station (Nice)
- Intervenant(s) artistique(s) : Amélie Masciotta, Claude Valenti, Stéphane Coda, Natalija Jukic et Murielle Iris et le Professeur Kouro
- Public concerné : 24 participants de 6 à 65 ans
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Paroles des intervenants
«A partir de la structure modulable du studio des Films en Tubes, nous avons composé, dans la grande salle d’exposition de la Station, deux plateaux de tournage avec de nombreuses possibilités d’ambiances de lumière, un troisième plus petit pour s’essayer à la décomposition du mouvement et un banc-titre.
La chanson des Otaries a été au-préalable, chronométrée, séquencée et story-boardée. Par groupe, les participants s’emparaient d’une séquence avec des personnages, des accessoires et des décors à fabriquer, une mise en scène à imaginer, des mouvements à orchestrer.
Le montage a eu lieu en direct, au fur et à mesure que les séquences minutées étaient livrées.»
